La Bête du Gévaudan - Livres
Cette association a vu le jour à l'initiative d'Hervé Boyac, auteur de plusieurs livres sur le sujet. Né à Orange, fils d’agriculteurs, Hervé Boyac est devenu ingénieur forestier de métier par passion de la nature.
Autodidacte, son affection pour le monde sauvage depuis ds décennies, et du loup depuis 40 ans, l’ont entraîné dans divers pays sur les traces de la grande faune sauvage.
Il a publié 4 livres sur l'affaire de la Bête du Gévaudan et un gros livre sur le loup.
Il a en outre publié de nombreux articles et donné des dizaines de conférences un peu partout sur la Bête du Gévaudan ou sur le loup
Défenseur des grands prédateurs français, il milite (entre autres), pour un retour concerté et accepté du loup dans notre pays.
Son intérêt pour cet animal mythique l’a aussi conduit à travailler sur la Bête du Gévaudan depuis plus de 20 ans maintenant, et publier en auto édition tout d’abord le livre « La Bête du Gévaudan, plaidoyer pour le loup » en 2004, puis «La Bête du Gévaudan, le loup acquitté enfin ! » en 2007.
En novembre 2014 il a publié un troisième livre "La Bête du Gévaudan, le loup réhabilité" qui explore encore plus en détail cette affaire complexe.
Son travail relate en profondeur une affaire franco française qui s’est déroulée voilà plus de 250 ans, et dans laquelle, pour lui, Isengrin est hors de cause et donc réhabilité.
Enfin en 2022 il a publié son quatrième livre ; voir plus bas
Résumé du premier livre
La Bête apparaît en juin 1764, dans le sud du Gévaudan, ce comté devenu depuis le département de la Lozère. Très vite, elle va semer la terreur parmi les habitants de cette région rurale et austère, déjà éprouvée par les guerres de religion passées, les hivers rigoureux, les famines et épidémies. Les rescapés des attaques diront sans hésitation qu’il ne s’agit pas d’un simple loup, mais d’un autre animal inconnu ici qu’ils nommeront par commodité «La Bête ». Celle-ci s’attaquera prioritairement aux enfants dont la tâche principale consiste à garder le bétail, tuant avec une audace déconcertante. Elle va déjouer tous les pièges, et échapper à toutes les chasses menées contre elle par les plus grands spécialistes en la matière, envoyés par le roi Louis XV en personne.
La Bête est imprévisible, elle accomplit de longs déplacements, elle survit aux coups de feu reçus, bref elle paraît invulnérable.
Les paysans désespérés, se rallient d’ailleurs aux propos religieux de l’évêque pensant que la Bête est un démon que seul Dieu pourra détruire. Enfin après quatre années de ravages, la Bête tombera sous les balles d’un paysan nommé Jean Chastel, et les attaques cesseront à jamais. En plus de sa connaissance des lieux, ce dernier avait découvert que la Bête n’était pas un animal ordinaire, et que de surcroît elle n’agissait pas seule mais dépendait d’un appui humain. Pour faire cesser les attaques, il ne suffirait donc pas d’abattre la Bête, il fallait aller plus loin. Après mûre réflexion, c’est ce qu’il fit pour délivrer son pays de tant de souffrances.
Qui a pu imaginer un tel complot et pourquoi ?
Nous sommes à 25 ans de la future révolution et les tensions commencent a être très vives dans les provinces aussi ; de vieux conflits mal cicatrisés resurgissent. Plusieurs nobles locaux peuvent être tentés de se venger des préjudices que la monarchie, déjà vacillante, leur a causés. La Bête et son lot de meurtres est un moyen, parmi d’autres, pour déstabiliser le royaume comme de nos jours les terroristes poseurs de bombes ou les kamikazes en avion sèment des embûches à la démocratie.
Ainsi au 19 juin 1767, cette machination diabolique qui a perduré 1000 jours, aura provoqué la mort d’au moins 80 personnes connues, dont 70 enfants, en près de 200 attaques répertoriées officiellement, et ce en toute impunité.
Depuis lors en France le loup est toujours tenu pour responsable de cette odieuse affaire dans laquelle il est pourtant hors de cause.
Un ouvrage de 288 pages en papier glacé et quadrichromie au format 17 X 24 cm comportant plus de 100 illustrations couleur : photos, gravures, cartes, graphiques...Un objet de collection !
Plus que quelques exemplaires ; disponible chez l’auteur au prix de 40 € (+ port) en cliquant sur Commander
Résumé du second livre
Ce second livre a pour but de s’approcher d’un peu plus près de la vérité, tout en acquittant le loup sans équivoque. Cette lointaine affaire de notre histoire (1764-1767), est hélas bien réelle et non une légende; une Bête féroce aura provoqué la mort d’au moins 80 personnes, en près de 200 attaques sur la Margeride et l’Aubrac.
Cette « Beste » comme la dénommeront les paysans est imprévisible, elle va éviter tous les pièges, et échapper à toutes les chasses menées contre elle par les plus grands spécialistes lancés à ses trousses, sur ordre du Roi Louis XV. Ce qui démontre à l’évidence qu’elle était dépendante de l’homme.
Enfin après 4 années de ravages, la Bête tombera sous les balles d’un paysan nommé Jean Chastel, et les attaques cesseront à jamais. Durant 1000 jours cette longue saga, et son lot de victimes, aura semé la terreur et la désolation dans cette région austère et misérable.
Règlement de compte sur ordonnance ? Derniers soubresauts des querelles religieuses ? Complot politique ? Prémices de la Révolution ? Agissements de pervers ? Quels sont les auteurs et les mobiles de cette affreuse série meurtrière ?
Un ouvrage de 312 pages au format 17 X 24 cm, avec de nouvelles illustrations et des cartes remises à jour.
En voie d’épuisement, disponible uniquement chez l’auteur au prix de 34 € (+ port) en cliquant sur Commander
Résumé du troisième livre
Une nouvelle édition largement enrichie : 430 pages au format 16 x 24 cm, avec des cartes plus lisibles, des illustrations inédites ; la référence sur le sujet.
Un animal féroce apparaît en juin 1764 dans le Gévaudan, ce Comté de la province du languedoc.
Très vite, il va semer la terreur parmi les habitants de cette région rurale et austère, déjà éprouvée par les guerres de religion passées, les hivers rigoureux, les famines et épidémies. Les rescapés des attaques diront sans hésitation qu’il ne s’agit pas d’un simple loup, mais d’un autre animal inconnu ici qu’ils nommeront «La Bête ». Celle-ci s’attaquera prioritairement aux enfants dont la tâche principale consiste à garder le bétail, tuant avec une audace déconcertante. Elle va déjouer tous les pièges, et échapper à toutes les chasses menées contre elle par les plus grands spécialistes en la matière, envoyés par le Roi Louis XV.
La Bête est imprévisible, elle accomplit de longs déplacements, elle survit aux coups de feu reçus, bref elle paraît invulnérable. Les paysans désespérés, se rallient d’ailleurs aux propos religieux de l’Evêque pensant que la Bête est un démon que seul Dieu pourra détruire. Enfin après quatre années de ravages, la Bête « tombera » sous les balles d’un paysan nommé Jean Chastel, et les attaques cesseront à jamais.
En plus de sa connaissance des lieux, ce dernier avait découvert que la Bête n’était pas un animal ordinaire, et que de surcroît elle n’agissait pas seule mais dépendait d’un appui humain.Pour faire cesser les attaques, il ne suffisait donc pas d’abattre la Bête, il fallait aller plus loin. Après mûre réflexion, c’est ce qu’il fit pour délivrer son pays de tant de souffrances.
Ce livre démontre en détail que l’histoire est en fait plus compliquée que cela.
Qui a pu imaginer un tel complot et pourquoi ?
Nous sommes à 25 ans de la future révolution et les tensions commencent a être très vives dans les provinces aussi ; de vieux conflits resurgissent. Plusieurs nobles locaux peuvent être tentés de se venger des préjudices que la monarchie, déjà vacillante, leur a causés. La Bête et son lot de meurtres est un moyen, parmi d’autres, pour déstabiliser le Royaume comme de nos jours des agitateurs sèment des embûches aux démocraties.
Ainsi à la date du 19 juin 1767, cette machination diabolique qui a perduré 1 000 jours, aura provoqué la mort de 78 personnes connues, dont 64 enfants, en près de 200 attaques répertoriées officiellement. Depuis lors, en France, le loup est toujours tenu pour responsable de cette odieuse affaire dans laquelle il est pourtant hors de cause.
Ce troisième livre, qui fait suite à : « La Bête du Gévaudan, le loup acquitté enfin » apporte de nouveaux compléments utiles pour mieux comprendre cette affaire complexe qui a profondément endeuillé cette période déjà lointaine de notre histoire, tout en acquittant le loup sans équivoque.
L'auteur se fais l’avocat du loup, car selon lui, la Bête n’était pas un loup, comme il l'a déjà écrit dans ses deux premiers ouvrages. La Bête n’était pas non plus un animal sauvage agissant seul, mais nécessairement une association homme/animal. Il n’est pas facile de prime abord d’intégrer cette hypothèse, mais en y réfléchissant plus longuement elle devient finalement cohérente. L'auteur a lui-même douté au début lorsque il s'est intéressé à cette affaire, voilà 30 ans.
C'est une nage à contre courant des idées reçues tout en précisant que 80 % des auteurs accusent le loup dans cette affaire. Au risque de déplaire à certains, l'auteur a choisi une voie moins facile, mais qu'il croit juste, tout en ayant toujours à l’esprit de la compassion pour ces nombreuses jeunes victimes.
Disponible chez l’auteur et dédicacé au prix de 24 € (+ port) en cliquant sur Commander
Nouveauté 2022
C'est au cours de l'été qu'est sorti le dernier livre d'Hervé Boyac, un ouvrage enrichi qui apporte de nombreuses précisions sur le déroulement de cette affaire complexe. Un ouvrage bien illustré et facile à lire ; à s'offrir ou à offrir. N'hésitez pas : faites un bon choix
Son titre : "La Bête du Gévaudan une affaire complexe" sous entend que nous sommes en présence d'un sujet irrésolu dans sa totalité et que nous disposons de peu de certidudes.
Résumé du quatrième livre
C’est en juin 1764 qu’un animal féroce apparaît dans le Gévaudan, l’actuelle Lozère. Très vite, il va semer la terreur parmi les habitants de cette région austère, aux hivers rigoureux, aux famines et épidémies. Les rescapés des attaques diront sans hésitation qu’il ne s’agit pas d’un simple loup, mais d’un autre animal inconnu, qu’ils nommeront «La Bête ». Celle-ci s’attaquera prioritairement aux enfants gardant le bétail, tuant avec une audace déconcertante. Elle va déjouer tous les pièges, et échapper à toutes les chasses menées contre elle par les plus grands spécialistes envoyés par le Roi Louis XV. Après quatre années de ravages, la Bête « tombera » sous les balles d’un paysan nommé Jean Chastel, et les attaques cesseront à jamais. A la date du 19 juin 1767, cette série diabolique, aura provoqué la mort de 78 personnes connues.
Par un argumentaire détaillé l’auteur démontre que cette affaire est en fait plus compliquée que les versions consensuelles et immuables tant de fois énoncées. Ce nouveau livre, apporte des compléments inédits pour mieux comprendre cette affaire complexe qui a profondément endeuillé cette période de notre histoire. Vous souhaitez commander ces ouvrages ?
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